
Au revoir toi le sein brisé
Cette nouvelle m a attristée
Et j ai encore du mal à gérer
Toutes ces émotions animées
Il faut savoir des fois accepter
Que les choses ne sont pas toujours exaucées
J ai encore du mal à évacuer
Cette idée que tu es du passé
Mais je vais devoir m y faire
Car la vie c est des fois accepter et se taire
L idée de me dire que toi cancer tu m as choisi
J aurai préféré une autre idée de la vie
La force qui est en moi intérieure
Recherche en moi tous les efforts mystérieux
Pour te vaincre et te combattre
Les larmes chaudes coulent
Sur mon visage pour évacuer
Et laisser porter ma tristesse
Les pleurs sont bénéfiques dans la souffrance
Laisser le corps s exprimer et ressentir cette peine
Laisser les pleurs sortir comme la pluie qui déferle
Laisser la brise du vent passer comme une caresse
Laisser les violions chanter et se changer
Pour accepter naître cette nouvelle femme
Femme qui toi t aime tant
Tant par les valeurs de partages et d amour
Qui a toujours cherché le grand amour
Celui qui te fais battre ton cœur et te rends plus vivante
Femme qui aime tant la joie de la vie
Qui a toujours aimé le mot RIRE
Il est le signe que le mot souffrir n est pas dans ton répertoire
Et pourtant tellement de fois tu as affronté ce mot et ces associations
Ces choses qui t ont fait que tu t es durcie et embellie
C est comme un arbre fragile et solide à la fois
Tu aimes l idée du printemps
Ou toutes ces choses renaissent
Que les bourgeons éclosent
Que les amoureux se becotent
Que la vie reprenne enfin le chemin du soleil
Mon soleil intérieur
Mon étoile intérieure
Il est l heure de se réveiller
Et de me donner du courage
Je ne veux pas être un naufrage
Ces larmes qui naissent
C est pour sortir de la prison
Et vous rendre la liberté
Laissez moi continuer à aimer
Tous ce qui est pour moi joie de vie
Et la paix intérieure au fond de mon être
Que j ai tant recherché
Il est temps que tu viennes aussi me sauver
Afin qu' ensemble toi au fond de moi force intérieure
Nous ne fassions qu' une seule union
Celle aussi du pardon
Celle aussi d accepter ce nouveau corps
Celle d accueillir en moi cette nouvelle vie
Que j aime tant à l infini
Vous saurez tout , Tout, tout sur le zizi
Ah non aujourd'hui c est pas zizi, mais c est nene
Nene de chez mémé
Nene de tata Andrée
Nene de ma douce mère adorée
Nene qui est le mien
Le p'tit le gros
Le maigre le gras
Le p'tit qui se prend dans la main
Quand tu donnes des coups de rein
La grosse qui se trémousse
Qui sors du bain avec la mousse
Et puis des fois t'as plus rien
Qui tient dans ta main
Parce que le tien, ton sein, ton tien
Il est parti... mais c est pas grave
Il reste son ami la loche
Qui ne va pas faire sa cloche
Elle va prendre le relais
Avec ton amie la mousse
En attendant que ça guérisse
Il y a toujours à sucer la réglisse
C est pas les sucettes à l anis
Celle ci est parti dans son paradis blanc
Mais toi tu restes qu' il te reste la vie
Réflexion faite pense plus à nene
Je suis sure que Pierre Perret
Dirait pense au zizi
Qui aime les guili
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